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HISTOIRE, PATRIMOINE, PEINTURE, SCULPTURE, PERFORMANCE,

HOTEL DE CAUMONT CENTRE D’ART -  AIX-EN-PROVENCE

HOTEL DE CAUMONT  CENTRE D’ART  -  AIX-EN-PROVENCE
HOTEL DE CAUMONT  CENTRE D’ART  -  AIX-EN-PROVENCE
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HOTEL DE CAUMONT  CENTRE D’ART  -  AIX-EN-PROVENCE
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HOTEL DE CAUMONT  CENTRE D’ART  -  AIX-EN-PROVENCE
HOTEL DE CAUMONT  CENTRE D’ART  -  AIX-EN-PROVENCE

 

https://www.arte.tv/fr/videos/084543-000-A/valence-la-joie-mediterraneene-de-sorolla/

 

Valence sur la côte Est de l’Espagne concentre des merveilles gothiques, baroques et renaissance. C’est ici que naît l’un des plus grands peintres espagnols de la fin du XIXème siècle : Joaquin Sorolla. S’émerveillant de la monumentalité de sa ville natale, s’intéressant au quotidien des travailleurs, il saura capter la joie de vivre du peuple valencien.

 

JOAQUIN SOROLLA

LUMIERES ESPAGNOLES   >  1er NOVEMBRE 2020

 

Pour la première fois, l’Hôtel de Caumont expose des peintures aux côtés de dessins, encore jamais montrés au public. L’exposition présente près de 80 peintures, dessins et études de l’artiste, issus d’institutions importantes comme le Musée Sorolla à Madrid, le Musée des Beaux-Arts de Valence, les musées de Saragosse et de Pontevedra ainsi que la Galerie nationale d’Art moderne et contemporain à Rome. Des œuvres, habituellement non exposées, issues de collections particulières, sont également présentées pour la première fois.

 

Les expositions internationales consacrées à Sorolla réalisées ces dix dernières années, ont souligné le rayonnement international du peintre, son succès dans les grands concours artistiques européens, tels que le Salon de Paris ou les expositions de la Sécession à Munich, Vienne et Berlin, tout comme l’importance de ses expositions individuelles dans de grandes villes européennes et nord-américaines. Ses affinités avec les maîtres européens et américains de sa génération, tels que Sargent, Zorn, Degas ou Monet, le placent parmi les artistes les plus importants et influents de son temps.

 

Fondée sur le naturalisme, sous l’influence de Bastien-Lepage, sa peinture est très marquée par la constante référence à Velázquez, que Sorolla considère comme son grand maître. Cet apprentissage est enrichi par un coup de pinceau libre et lumineux, proche de l’impressionnisme, et par une interprétation de la lumière et de la couleur incroyablement vitaliste et novatrice. Ses compositions magistrales, informées par les nouvelles possibilités de cadrage de la photographie, ainsi que par l’influence de l’estampe japonaise, nous captivent par leur spontanéité, leur immédiateté et leur modernité.

 

L’exposition de l’Hôtel de Caumont aborde la manière dont Sorolla a construit son œuvre, s’attachant à trois questions fondamentales : le processus créatif de l’artiste, les sources de ses principaux sujets de son œuvre et leur évolution au sein de sa production.

 

Aux côtés d’œuvres ambitieuses de grand format, sont exposés de petits dessins et esquisses à l’huile, qui éclairent d’une lumière nouvelle sa conception de l’art, dont les traits principaux sont la luminosité et la spontanéité. Essentielles dans son processus de travail, ces esquisses de petits formats lui permettent de cerner les sujets qu’il explore, de tester des compositions ou des combinaisons de couleurs.

 

L’exposition est aussi l’occasion de découvrir le caractère infatigable, quasi obsessionnel de son travail, et la manière dont Sorolla a élaboré son style le plus personnel.

 

PRÉFACE AU CATALOGUE - BRUNO MONNIER

 

Aussi célèbre en Espagne que Velázquez et Goya, Joaquín Sorolla ne connaît pas encore en France la notoriété qu’il mérite. Cette exposition est, pour le public français, une précieuse occasion de découvrir et d’admirer l’œuvre de ce maître incontournable de la peinture espagnole, qu’il était temps de remettre à l’honneur.

 

C’est l’image de tout un pays qui nous est livrée dans sa peinture, tant par la représentation de ses paysages lumineux – de Valence à Madrid, des Pays basques au golfe de Gascogne – qu’à travers les personnages qui les habitent, si caractéristiques de l’œuvre de Sorolla : les pêcheurs, toujours attelés à leur travail, aux aurores comme au crépuscule ; les femmes de la bourgeoisie en villégiature, se promenant dans leurs robes blanches et élégantes sur les plages du nord du pays ; ou encore ces enfants qui se baignent, jouent et courent sur les rivages, symboles d’une vitalité et d’une fraîcheur très recherchées par les intellectuels espagnols, au tournant du XXe siècle.

 

Toutefois, sa production foisonnante nous montre aussi le regard plus intimiste d’un artiste qui, tôt orphelin, nourrit un amour profond pour sa famille, omniprésente dans ses tableaux, ses esquisses et ses croquis. Grâce à la sélection attentive faite par María López Fernández, commissaire de l’exposition, l’ensemble des œuvres réunies à l’Hôtel de Caumont nous révèle un artiste à la fois ancré dans la tradition picturale espagnole et parfaitement en phase avec son époque. En effet, la peinture de Sorolla présente bien des affinités avec celle de ses contemporains français, impressionnistes ou pointillistes. Artiste cosmopolite, proche de Rodin, Sargent, Zorn ou Monet, Sorolla participe avec succès aux plus grands concours et salons de son époque, et s’affirme de son vivant comme un protagoniste reconnu de la scène artistique internationale.

 

PARCOURS DE L’EXPOSITION

 

INTRODUCTION

 

Joaquín Sorolla est l’une des grandes figures de la peinture espagnole du XXe siècle et l’une de ses références incontournables. Aux côtés de Velázquez et de Goya, Sorolla est l’un des artistes espagnols les plus populaires.

 

Né à Valence dans une famille modeste, Sorolla commence sa formation artistique dès son plus jeune âge. Complétant ses études à Rome, il est le seul artiste espagnol de sa génération à fréquenter les milieux internationaux, côtoyant des artistes aussi divers que Rodin, Gérôme, Bonnat, Sargent, Zorn et Monet. Il participe avec succès à des événements artistiques internationaux, tels que le Salon de Paris, les Sécessions de Munich, Vienne et Berlin et la Biennale de Venise.

 

Sa touche libre et brillante, dérivée de l’Impressionnisme, exalte la lumière et la couleur et anime sa peinture d’un dynamisme exceptionnel.

 

Cette salle présente, à côté de l´autoportrait du peintre, quelques-unes parmi les premières œuvres que Sorolla expose au Salon de Paris.

 

SECTION 1. « FILS DE GOYA, PETIT-FILS DE VELÁZQUEZ ».

SOROLLA ET LA TRADITION ESPAGNOLE

 

Ses portraits aux couleurs sobres puisent dans la palette traditionnelle de la peinture espagnole, faite de blancs, de noirs et d’ocres. Mais Sorolla y introduit des nuances subtiles, inspirées notamment de l’œuvre du peintre américain James Whistler, telles qu’on peut les admirer dans les portraits comme Clotilde en robe grise ou Portrait d’Antonio García, beaupère du peintre.

 

1. Joaquín Sorolla, La famille, 1901, huile sur toile, 185 x 159 cm, Museo de la Ciudad de Valencia. Ayuntamiento de Valencia, Foto: Museo de la Ciudad. Ayuntamiento de Valencia

 

2. Antonio García Peris, Joaquín Sorolla, sa femme et ses enfants, 1901, Museo Sorolla © Fotografias Museo Sorolla, Madrid

 

SECTION 2. ENTRE NATURALISME ET INSTANTANÉE.

LA RECHERCHE DE LA SPONTANÉITÉ

 

C’est notamment dans les portraits de ses enfants que Sorolla articule avec grande habileté l’héritage de Velázquez et la spontanéité de la peinture en plein air. La solidité de ses compositions, digne des grands maîtres du passé, s’accorde avec sa touche légère, brillante et riche de nuances.

 

Joaquín Sorolla, La cruche, 1904, huile sur toile, 151 x 98 cm

Collection particulière © Photographie Fernando Maquieira 2019

 

SECTION 3. PEINDRE EN PLEIN AIR SUR LES PLAGES DU PAYS BASQUE

 

À côté des esquisses, qui lui permettent d’étudier l’ambiance qu’il traduira en peinture, Sorolla peint aussi, directement en plein air, des œuvres d’envergure comme Sur le sable, Plage de Zarautz, María sur la plage de Biarritz et María à Zarautz.

 

1. Joaquín Sorolla, María à Zarautz, 1910, huile sur toile, 65 x 92 cm, Collection particulière © Photographie Fernando Maquieira, 2019

 

2. Joaquín Sorolla, Elena et Susana à Biarritz, 1914, huile sur carton, 15,5 x 22 cm, Collection particulière © Photographie Fernando Maquieira, 2019

 

SECTION 4. LA PEINTURE À FLEUR DE PEAU

 

Le caractère vital et insouciant du jeu des enfants en train de se baigner ou de courir sur la plage est l’un des motifs privilégiés de Sorolla. Ces scènes lui permettent de mettre en œuvre ses meilleures habilités de peintre. Elles lui offrent la possibilité de s’attarder sur les détails de la peau mouillée, les reflets sur le sable humide et sous les transparences de l’eau, qui dématérialise les corps. Bain à la plage représente l’une des œuvres les plus spectaculaires, combinant l’aspect brillant de la peau du bébé et la fraicheur de l’écume de la mer.

 

Cette préoccupation pour l’aspect corporel des figures, face à la fluidité changeant de la mer, se manifeste avec une maîtrise particulière dans Nageurs, Xàbia et, de manière plus esquissée, dans Enfants baignant entre les rochers. L’artiste libère ses touches de pinceau pour les transformer en taches de peinture pure, dans lesquelles tous les effets de l’eau, sa brillance et ses transparences, se confondent avec le corps enfantin.

 

La vitalité irrésistible des enfants sur la plage représente aussi un chant salutaire face à la décadence fin-de-siècle. Comme le critique Rafael Domenech l’a écrit en 1910, ces tableaux produisent chez les contemporains « une sensation d’énergie et de grandeur, de santé et d’équilibre, par les thèmes et par les moyens expressifs de son art ».

 

Joaquín Sorolla, Pêcheuse valencienne, 1916, huile sur toile, 46 x 37, Collection particulière © Photographie Fernando Maquieira, 2019

 

1. Joaquín Sorolla, Enfants dans la mer, Plage de Valence, 1908, huile sur toile, 81x106 cm, Collection Abelló © Photo: Joaquín Cortes

 

2. Joaquín Sorolla, étude d’enfants, n.d. crayon sur papier, 11 x 16 cm, Collection particulière © Photographie Fernando Maquieira, 2019

 

Joaquín Sorolla, Sortant du bain, n.d., crayon et craie sur papier, 63 x 43,5 cm, collection particulière © Photographie Fernando Maquieira, 2019

 

Nageurs, Xàbia, 1905

 

Les personnages à la mer s’affirment comme sujet fondamental de la peinture de Sorolla, emblématiques de son style. Pendant son séjour à Xàbia, en 1905, Sorolla poursuit sa recherche et réalise une série de peintures dont les enfants qui nagent sont les seuls protagonistes.

 

Dans ce cas, le défi consiste à saisir comment la lumière interagit avec l’eau, dématérialisant le corps des enfants. Dans cet exercice audacieux, Sorolla réalise un grand nombre de “notes de couleur” où il étudie attentivement le comportement de la mer et l’aspect des enfants sous l’eau cristalline.

 

SECTION 5. DU VENT ET DES VOILES.

PEINDRE L’INSTANT PRÉSENT

 

Capter la vision immédiate, la sensation passagère, devient une véritable obsession pour Sorolla. Afin de transmettre la rapidité d’une voile gonflée par le vent, il tâche de transposer sur la toile la sensation que l’œil perçoit lors d’un premier regard. Il réalise une infinité de dessins de voiles enflées par le vent, mais aussi recueillies ou partiellement repliées, explorant toutes les possibilités plastiques du motif. Ses esquisses lui permettent, par la suite, d’aborder ses toiles avec la même fraîcheur que ces petites études.

 

SECTION 6. OMBRE ET LUMIÈRE, ÉLÉMENTS DE COMPOSITION

 

Sorolla compose par la lumière avec une audace de plus en plus extrême. Il force les ombres, réunissant les couleurs complémentaires, selon la loi du contraste simultanée des couleurs, énoncée par le chimiste Michel-Eugène Chevreul en 1839.

 

La lumière et les ombres sont les véritables protagonistes des tableaux exposés dans cette salle, parmi ses plus grands succès internationaux. Ainsi, dans ces tableaux et dans les portraits de pêcheuses valenciennes, l’ombre représente tantôt l’espace par lequel le spectateur peut s’introduire dans l’œuvre, tantôt le contrepoint qui donne son équilibre à la composition.

 

SECTION 7. LA COULEUR RAVIE À LA NATURE

 

À partir de 1904-1905, la peinture de Sorolla prend ses distances du naturalisme, dans l’effort de mettre encore plus en relief les couleurs. Sa campagne à Xàbia, au sud de Valence, pendant l’été 1905 donne vie à quelques-unes des œuvres les plus importantes qui composent sa première exposition personnelle à la galerie Georges Petit, en 1906.

 

En regardant la mer de Xàbia, il trouve cette combinaison de couleurs complémentaires dans la nature. L’écrivain Vicente Blasco Ibáñez dira à ce propos : « Ceci n’est pas peindre, c’est ravir à la nature la lumière et la couleur ».

 

Sorolla réduit et brise sa touche de pinceau, afin de transmettre les plans de couleur multiples que produit la rencontre de lumière et de l’eau. Les œuvres de ce type, centrées exclusivement sur les aspects plastiques, privilégient un point de vue en plongée, qui apparaît très moderne, suggéré, entre-autres, par l’influence de la photographie et de l’estampe japonaise.

 

JOAQUÍN SOROLLA (1863 - 1923 ) : QUELQUES DATES

 

1863 : Naissance de Joaquín Sorolla y Nastida le 27 février à Valence, en Espagne.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joaqu%C3%ADn_Sorolla

 

1911 : Exposition personnelle à l’Art Institute de Chicago (171 œuvres). Sorolla donne des cours magistraux à l’Art Institute de Chicago.

 

En novembre, il signe avec Archer M. Huntington, président de la Hispanic Society of America de New York, un contrat de 150 000 dollars pour exécuter, dans un délai de cinq ans, un ensemble de panneaux intitulés Visions d’Espagne pour la bibliothèque du musée.

 

1913 : Il déménage à Madrid dans une demeure située Cuesta de las Perdices, qui offre une vue sur la montagne. Il y installe son atelier en plein air et travaille au premier panneau de Visions d’Espagne. Fin septembre, il séjourne à Paris avec le peintre Francisco Pons Arnau, au cours duquel il rend visite à Auguste Rodin dans son atelier. Il est nommé directeur de la Villa Médicis, à Rome.

 

1919 : Il participe à l’« Exposition de peinture espagnole moderne » au Palais des Beaux-Arts de la Ville de Paris et à Bordeaux.

 

1920 : Il se consacre à son travail d’enseignement à l’Académie royale des Beaux-Arts de San Fernando. Il est atteint d’une attaque d’hémiplégie alors qu’il peint dans son jardin ; il sera dès lors dans l’incapacité de peindre.

 

1923 : Mort de Joaquín Sorolla le 10 août à Cercedilla (Madrid), au domicile de sa fille María.

 

1932 : Inauguration du Museo Sorolla, à Madrid.

 

EQUIPE DU PROJET ARTISTIQUE

 

Commissariat : María López Fernández

 

Docteure en histoire de l’art, spécialiste de la peinture des XIXe et XXe siècles, María López Fernández a assuré le commissariat de plusieurs expositions sur Sorolla telles que Sorolla. Jardins de lumière (Ferrare, Grenade, Madrid, 2012-2013) ; Sorolla à Paris (Munich, Giverny,Madrid 2016-2017) ; Sorolla. Un jardin à peindre (Séville, Valence, Madrid 2017-2018) et À la chasse aux impressions. Sorolla en petit format (Madrid, 2019). Elle a aussi rédigé des articles scientifiques pour les catalogues de ces expositions ainsi que pour les ouvrages Clotilde de Sorolla (Madrid 2012) et Sorolla et les Etats-Unis (Dallas, San Diego, Madrid 2013-2014).

 

Production et Réalisation

 

Agnès Wolff, Directrice des expositions Culturespaces, Cecilia Braschi, Responsable des expositions pour l’Hôtel de Caumont - Centre d’art, Sophie Blanc, Régisseuse pour l’Hôtel de Caumont- Centre d’art et Livia Lérès et Bérangère Renard pour l’iconographie au sein de Culturespaces.

 

Culturespaces, producteur et réalisateur de l’exposition.

 

Plus d’infos sur www.culturespaces.com

 

Avec 30 ans d’expérience et plus de 4,5 millions de visiteurs par an, Culturespaces, créé en 1990 par Bruno Monnier, est le premier opérateur privé dans la gestion complète de monuments, musées et centres d’art. Depuis 2012, Culturespaces est aussi l’un des pionniers dans la création de centres d’art numériques et d’expositions numériques immersives.

 

SCÉNOGRAPHIE

 

Hubert le Gall, designer français, créateur et sculpteur d’art contemporain, réalise des scénographies originales pour de nombreuses expositions et notamment à l’Hôtel de Caumont-Centre d’art pour les expositions Hokusai, Utamaro, Hiroshige. Les Grands Maîtres du Japon. Collection Georges Leskowicz (2019) ; Chefs-d’œuvre du Guggenheim. De Manet à Picasso, la collection Thannhauser (2019) ; Nicolas de Staël en Provence (2018) ; Sisley, l’impressionniste (2017).

 

L’exposition est organisée avec le soutien de tous les prêteurs, privés et institutionnels, soient ici chaleureusement remerciés pour leur générosité, qui a rendu possible cette exposition inédite. En particulier, nous saluons l’implication fondamentale du Museo Sorolla de Madrid, non seulement par le prêt d’un nombre important d’œuvres de premier plan, mais aussi par l’appui scientifique et la mise à disposition de ses précieux fonds d’archives. Nos remerciements s’adressent tout particulièrement à son directeur, Enrique Varela, à l’ancienne directrice, Consuelo Luca de Tena, ainsi qu’aux conservateurs Covandonga Pitarch, Luis Alberto Pérez Velarde et Rosario López, et à la restauratrice Belén Topete. Nous remercions également Carmen Jiménez Sanz, directrice générale adjointe des musées de l’État espagnol.

 

POUR ALLER PLUS LOIN

 

Ecouter émission radio France

 

https://www.franceculture.fr/evenement/exposition-joaquin-sorolla-lumieres-espagnoles

 

L’HÔTEL DE CAUMONT-CENTRE D’ART À AIX-EN-PROVENCE

 

UNE INSTITUTION CULTURELLE, UNE MISSION D’INTÉRÊT GÉNÉRAL

 

Classé Monument Historique, l’Hôtel de Caumont est l’un des plus beaux hôtels particuliers d’Aix-en-Provence datant du XVIIIe siècle. Situé à quelques pas du cours Mirabeau, dans le quartier Mazarin, il a fait l’objet d’une complète restauration afin d’accueillir, depuis mai 2015, un nouveau Centre d’Art.

 

Ouvert à toute forme d’art, il a pour vocation de présenter deux expositions temporaires par an, dédiées aux grands noms de l’histoire de l’art, de l’art ancien à nos jours. Restituant l’atmosphère et l’esthétique caractéristiques du XVIIIe siècle, l’Hôtel de Caumont – Centre d’Art est un lieu majeur de la vie culturelle aixoise, où l’on découvre et partage l’art avec passion.

 

MÉCÈNE DE L’EXPOSITION

 

LA FONDATION CREDIT AGRICOLE ALPES PROVENCE

 

Grand mécène de l’exposition « Joaquín Sorolla, lumières espagnoles » à l’Hôtel de Caumont-Centre d’art, la Fondation Crédit Agricole Alpes Provence s’affirme comme le premier mécène de l’art et de la culture en Provence, en accompagnant les expositions majeures organisées sur son territoire.

 

LA FONDATION CULTURESPACES

FAVORISER L’INCLUSION SOCIALE PAR LA CULTURE

 

Consciente des inégalités d’accès dans le domaine de la culture, la Fondation Culturespaces met en œuvre depuis 2009 des programmes éducatifs destinés à favoriser l’accès aux arts et au patrimoine pour des enfants éloignés de la culture.

 

Grâce à des programmes sur mesure, la Fondation Culturespaces fait découvrir aux enfants les richesses historiques et artistiques, et les aide à se construire par la culture.

 

AUTOUR DE L’EXPOSITION

 

Pour accompagner l’exposition, Culturespaces et les Éditions Hazan publient un catalogue de 192 pages entièrement illustré réunissant l’ensemble des œuvres présentées, des textes inédits et une chronologie détaillée.

 

En vente au prix de 29 € à la librairie-boutique du centre d’art et en ligne sur

 www.boutique-culturespaces.com

 

INFORMATIONS PRATIQUES

 

POUR LES PLUS PETITS : LE LIVRET-JEUX

 

Remis gratuitement à chaque enfant (7/12 ans) qui se rend à l’exposition, ce livret est un guide permettant aux plus jeunes d’observer, de manière ludique, les œuvres majeures de l’exposition à travers différentes énigmes.

 

VISITES

Des visites commentées pour les groupes et individuels sont organisées tout au long de l’exposition.

Des visites-ateliers pour les enfants sont également proposées pour les enfants de 5 à 12 ans.

Réservations : www.caumont-centredart.com

 

ADRESSE

Hôtel de Caumont-Centre d’Art

https://www.caumont-centredart.com/en

 

3, rue Joseph Cabassol 13100 Aix-en-Provence

Tél. : 04 42 20 70 01

 

Réseaux sociaux :

https://www.instagram.com/p/CDwHkFhhfyP/

https://www.instagram.com/p/CD1fUpflfn6/

 

Visiter le musee sorolla – Madrid

https://www.esmadrid.com/fr/information-touristique/musee-sorolla?utm_referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F

 

JOURS ET HORAIRES D’OUVERTURE

Exposition du 10 juillet au 1er novembre.

L’Hôtel de Caumont-Centre d’Art est ouvert tous les jours y compris les jours fériés.

Pendant toute la durée de l’exposition : 10h-19h.

Dernière entrée 30 minutes avant la fermeture.

 

Le Café-Caumont et la librairie-boutique sont en accès libre tous les jours aux horaires

d’ouverture de l’Hôtel de Caumont - Centre d’Art.

 

TARIFS

Visite de l’Hôtel de Caumont-Centre d’Art + exposition :

Plein tarif : 14,5 € I Tarif Senior (65 ans et plus) : 13,5 €

Tarif réduit (étudiants, demandeurs d’emploi, porteurs d’une carte d’invalidité, porteurs du pass Education - sur présentation d’un justificatif en cours de validité) : 11,5 €

Tarif jeune (7 à 25 ans) : 10 € I Offre famille : 43 €

Les enfants de moins de 7 ans et les journalistes bénéficient de la gratuité (sur présentation d’un justificatif).

 

Visite en groupe à partir de 15 personnes, sur réservation.

Contact : groupes@caumont-centredart.com

 

Les espaces de l’Hôtel de Caumont peuvent être privatisés pour des réceptions.

Contact : receptions@caumont-centredart.com

 

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