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HISTOIRE, PATRIMOINE, PEINTURE, SCULPTURE, PERFORMANCE,

LES GRANDES ÉCURIES SPECTACLE ÉQUESTRE  >  1er NOVEMBRE 2020

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IL  ETAIT  UNE  FOIS

 

INTRODUCTION

 

Trois cents ans. En 1719 débutait la construction des plus grandes écuries d’Europe, un bijou d’architecture commandé par Louis Henri de Bourbon, septième prince de Condé, auprès de l’architecte Jean Aubert. Depuis trois cents ans, ce véritable palais pour chevaux se dresse près du château de Chantilly et surplombe désormais le  célèbre hippodrome de la ville. Tantôt symbole du pouvoir princier et de la  monarchie absolue, tantôt refuge pour les armées révolutionnaires, et désormais conservatoire de l’équitation de tradition française, ce chef d’œuvre du patrimoine a traversé les siècles. Pour ses 300 ans, ces Grandes Écuries méritaient bien un spectacle équestre qui leur soit entièrement dédié.

 

Ainsi, la Compagnie équestre des Grandes Écuries de Chantilly présentera à partir du 5 avril son prochain spectacle, Il était une fois... les Grandes Écuries, dont une première mouture, créée pour célébrer le tricentenaire de ce monument, avait été présentée avec succès au cours de l’été dernier.

 

Dans cette fresque historique ludique, mêlant humour, poésie et prouesses équestres, les Grandes Écuries de Chantilly, ce majestueux monument à la gloire des chevaux, se racontent à travers les voix de deux écuyères-comédiennes, Sophie Bienaimé et Mathilde Pouteau.

 

Pendant une heure, les chevaux et écuyères de la compagnie équestre qui pratiquent l’art équestre à la perfection, proposent des numéros de haute-école – exécutés de façon gracieuse et harmonieuse – ainsi que quelques fantaisies équestres où chevaux et poneys jouent, se couchent, se cabrent, effectuent ruades et cabrioles et même, dansent au rythme d’un swing américain de l’après-guerre. Des moments graves alternent avec des scènes débordantes de gaîté pour évoquer les trois siècles d’histoire de cette folie de pierres imaginée en 1719 par Louis Henri de Bourbon, VIIe prince de Condé et dont la construction s’achèvera en 1735.

 

Cette mise en scène enrichie proposera notamment l’arrivée de nouveaux chevaux, des numéros de voltiges revisités et signés Clément Ferron le tout accompagné d’une musique live composée et jouée par le violoniste Jean-Lou Descamps. Sans oublier les somptueux costumes inventés et créés par Monika Mucha, la fidèle et géniale costumière de la Compagnie équestre des Grandes Écuries.

 

LES GRANDES ÉCURIES - UN PEU D’HISTOIRE

 

Loin des habituelles dépendances généralement attenantes aux châteaux, les Grandes Écuries se dressent seules, tel un palais pour chevaux. Œuvre d’un visionnaire, Louis- Henri de Bourbon, septième prince de Condé, petit-fils du roi Louis XIV, elles ont été conçues par l’architecte Jean Aubert, élève de Jules Hardouin-Mansart, premier architecte du roi à Versailles. Elles ont aussi une légende : le prince les aurait faites édifier car il pensait se réincarner en cheval dans un palais digne de son rang, mais laissons-là cette fable. Les travaux débuteront en 1719 et cesseront seize ans plus tard en 1735. Les Grandes Écuries sont quasiment achevées à la mort du prince en 1740, il manquera à jamais quelques statues au-dessus des porches des différentes cours et surtout le pavillon Nord.

 

TOUS LES GRANDS DE CE MONDE

 

Dès le début, la magnificence des écuries délie les langues, le Duc de Croÿ les trouve « ridiculement belles et plus superbes qu’aucun château avec sa belle pelouse ». Elles feront l’attrait des visites du domaine et jusqu’à la Révolution. Des hôtes de marque les visitèrent comme le frère de Marie-Antoinette, l’empereur Joseph II, le roi de Suède, Gustave III ou le futur tsar Paul Ier. Leur coupole, où se tiennent aujourd’hui les spectacles équestres, a été d’ailleurs le cadre de somptueux dîners.

 

Érigées pour la vénerie, c’est à dire l’art de la chasse à courre, que les princes prati- quaient chaque jour, les Grandes Écuries abritaient au XVIIIe siècle jusqu’à deux cent quarante chevaux, tous en stalles, à l’attache, dans chacune des deux nefs. La fontaine leur servait d’abreuvoir. Jusqu’à quatre cents chiens de meutes pour le daim, le lièvre, le sanglier, le chevreuil ou le cerf étaient hébergés dans la Cour des Chenils. Les calèches stationnaient dans les remises devenues aujourd’hui les salles d’exposition du Musée du cheval. Imaginez un peu la vie de ces écuries au XVIIIe siècle... départs de chasse par la porte centrale de la coupole, chiens aboyant, chevaux battant le pavé, hennissant, personnel pléthorique, plus de cent personnes entre les valets de chasse, piqueux, palefreniers, selliers. Arrivées et départs d’attelages, fêtes somptueuses, sonneurs jouant de la trompe en haut de la galerie en fer forgé du dôme...

 

LES ÉCURIES DECAPITÉES MAIS SAUVÉES !

 

Mais la Révolution sonne le glas. Le prince de Bourbon s’exile, prend la tête des Émi-grés, le château est pillé, en partie rasé, les Grandes Écuries auraient dû subir le même sort. Miraculeusement, elles seront sauvées, l’armée voyant en elles un magnifique lieu de casernement. Seules les statues en plomb, métal précieux pour les munitions, comme la Renommée du sculpteur Coysevox, située sur le toit du dôme, les chevaux et dauphins de la fontaine et celle de la Cour des Chenils seront détruites. Une copie fidèle de la Renommée sera reposée sur le faîte du dôme en 1989 par Yves Bienaimé. Les Grandes Écuries serviront aux troupes de Napoléon jusqu’en 1815. Le prince revient d’exil, les chasses reprennent, mais ayant perdu son fils et seul descendant, le Duc d’Enghien, le prince Louis-Henri de Bourbon choisit de léguer son domaine à son filleul et petit-neveu Henri d’Orléans, duc d’Aumale, cinquième fils du Roi Louis-Philippe.

 

Le duc d’Aumale n’a que 8 ans en 1830 lorsqu’il hérite de Chantilly. C’est à l’issue d’une chasse à courre organisée par son frère, le duc d’Orléans, que quelques gentlemens font une course depuis l’orée de la forêt jusqu’aux écuries. Ils se rendent compte alors que la pelouse des Grandes Écuries aurait la taille et la qualité parfaite pour accueillir un hippodrome. Il ne faut pas plus d’un an pour donner naissance au projet. Les premières courses de Chantilly ont lieu le 15 mai 1834, le prix du Jockey-Club en 1835 et le Prix de Diane en 1843. Ce jour-là 25 000 personnes prennent part au spectacle. Les courses sont une activité assez récente qui date de la fin du XVIIIe siècle, dont les spécialistes sont les Anglais avec la création de leurs fameux pur-sang.

 

DEUX MILLE HUIT CENT PUR-SANG

 

La forêt de Chantilly, (aménagée au XVIIe siècle par le célèbre jardinier paysagiste André Le Nôtre dont Chantilly a célébré le 400ème anniversaire en 2013) fut percée d’allées se rejoignant en différents ronds-points afin de permettre de suivre les chasses en attelage. Tout naturellement les entraîneurs de chevaux de courses se rendent compte que ces fameuses allées cavalières pourraient être utilisées comme pistes d’entrainement pour leurs champions. Et c’est ainsi que Chantilly est devenu peu à peu le plus grand centre d’entraînement français de chevaux de courses. Aujourd’hui encore près de 2 800 pur-sang s’entraînent sur le domaine.

 

En 1897, le duc d’Aumale s’éteint. Ayant perdu ses deux fils (il en a eu sept dont deux ayant atteint l’âge adulte), il décide dès 1884 de léguer son domaine à l’Institut de France, aujourd’hui encore propriétaire. Les Grandes Écuries deviennent après la Seconde Guerre mondiale un centre équestre réputé. En 1982, Yves Bienaimé, écuyer ayant enseigné dans les Grandes Écuries dans les années 1960, propose à l’Institut de France de les louer afin d’y créer le Musée vivant du cheval. En un quart de siècle, ce musée de référence aura accueilli plus de quatre millions et demi de visiteurs !

 

En 2006, Son Altesse le prince Aga Khan rachète l’exploitation et les collections du Musée vivant du cheval et les offre à la Fondation pour la Sauvegarde et le Développement du Domaine de Chantilly dont il est le président.

 

En 2013, un nouveau Musée du cheval voit le jour rassemblant des collections privées et de somptueuses œuvres du musée Condé. Les Grandes Écuries sont aujourd’hui sauvées et le cheval y est toujours roi.

 

LES GRANDES ECURIES SE RACONTENT

 

Pendant plus d’une heure, les grandes étapes de la vie de ces écuries sont retracées à travers une quinzaine de numéros équestres. Chevaux, ânes et poneys feront revivre l’histoire aux spectateurs par différents tableaux, alliant narration et figures équestres qui font la renommée des Grandes Écuries : haute-école, travail en liberté, cabrés, couchés, révérences. Les écuyères de la Compagnie équestre des Grandes Écuries du Domaine de Chantilly ainsi que le voltigeur Clément Ferron, transmettent leur vision et adaptation des trois cents dernières années de ce bâtiment emblématique du patrimoine français.

 

Aussi, pour faire revivre ces trois siècles d’histoire, les Grandes Écuries se racontent ;

 

 « Laissez nous vous conter notre incroyable histoire ! Nous : les Grandes Écuries de Chantilly, érigées, non pas comme de vils communs derrière le château, mais seules, fières, tel un palais, Il faut dire que notre créateur, Louis-Henri de Bourbon n’était autre que le petit fils de Louis XIV par sa mère, Mademoiselle de Nantes, fille légitimée du roi Soleil et de madame de Montespan. Avec son immense fortune, Louis-Henri décide d’embellir son domaine de Chantilly. Ce grand geste s’effectue de façon tout à fait exceptionnelle, pour les chevaux.

 

En 1719, il s’adresse à l’architecte Jean Aubert, ancien assistant de Jules Hardouin-Mansart pour nous ériger. Nous les Grandes Ecuries. Et depuis 300 ans, grâce à la folie de ce prince, à sa passion pour les chevaux, pour la chasse, nous sommes là, uniques, magnifiques, ostentatoires, au cœur de la ville et du Domaine de Chantilly. Notre tricentenaire méritait un spectacle équestre bien entendu ! C’est désormais chose faite. Pendant plus d’une heure, sous notre somptueux dôme, nous vous conterons avec nos beaux chevaux les grandes étapes qui ont marqué notre histoire. Tout d’abord, en ce début du XVIIIème siècle, le travail au manège, effectué par les écuyers de Monsieur le duc, s’exerçant à la haute école sur leurs ravissants destriers, ou encore les départs de chasses et les fêtes somptueuses organisées en l’honneur de Sa Majesté Louis XV en 1722 ou pour celle du Comte du Nord, futur tsar Paul 1er venu nous rendre visite en 1782.

 

L’armée nous occupe pendant la Révolution et nous sauve d’un projet de destruction tandis que le château est décapité. Les premières courses de chevaux pur-sang apparaissent en 1834 et se courent sur notre pelouse. Depuis cette date, Chantilly est devenue la capitale mondiale de l’entraînement des chevaux de courses !

 

Grâce au duc d’Aumale, notre dernier propriétaire, nous avons l’honneur de recevoir l’impératrice Sissi, merveilleuse amazone, qui prend régulièrement des leçons haute- école avec la brillante écuyère Élisa Petzold.

 

N’ayant pas de descendant, le duc nous lègue à l’Institut de France. Notre destin est scellé. Nous ne serons jamais vendues et l’Institut doit pourvoir à tous nos besoins. La première moitié du XXe siècle commence mal. Nous découvrons les chevaux vapeur pendant la Grande Guerre en devenant le garage du QG du Maréchal Joffre. Pour la Seconde Guerre Mondiale, l’armée allemande nous envahit. Il faut attendre 1947 pour retrouver enfin nos chevaux. Un cercle hippique chic s’installe avec, à sa tête, le Colonel Jousseaume, cinq fois médaillé aux Jeux Olympiques en dressage.

 

En 1982, Yves Bienaimé, ancien instructeur de ce fameux centre hippique réussit à convaincre l’Institut de France de créer le Musée Vivant du Cheval. Yves a une bonne idée : redonner au dôme sa vocation de manège et y créer des spectacles. Nous aimons ce faste d’antan qui revient. Pour fêter le bicentenaire de la Révolution, en 1789, il offre à l’Institut une copie de la statue de la Renommée détruite pendant cette sombre période. La silhouette des Grandes Écuries retrouve son apparence d’origine!

 

En 2006, une nouvelle page s’écrit. Des restaurations d’envergure s’amorcent grâce au dessein ambitieux du prince Aga Khan de redonner vie au Domaine de Chantilly. Des années de travaux qui inaugurent un nouveau musée du Cheval en 2013. Nos chevaux sont toujours là et les spectacles se poursuivent de plus belle sous le dôme restauré.

 

2020, nous y voilà. Nous qui avons tout vu, sommes passées du XVIIIe au XXIe siècle, avons su nous adapter à la modernité et sommes fières de notre singularité. Sans la folie du prince, et l’engouement de tous ceux qui nous ont possédées, se sont passionnés pour notre histoire, nous serions aujourd’hui oubliées. Et grâce à vous, cher public, qui venez nous visiter, nous vivons encore. »

 

LA COMPAGNIE ÉQUESTRE DES GRANDES ÉCURIES : EXCLUSIVEMENT FÉMININE !

 

La Compagnie équestre des Grandes Écuries de Chantilly est en soi un petit conservatoire de l’équitation de tradition française, classée au patrimoine immatériel de l’UNESCO via le Cadre Noir. D’ailleurs, cette académie, exclusivement féminine, a effectué un long séjour de trois mois à Saumur en 2009 débouchant sur un spectacle commun avec ce prestigieux Cadre Noir. Aujourd’hui encore, les écuyères de Chantilly sont régulièrement accompagnées techniquement par un écuyer de Saumur.

 

Sous la direction de Sophie Bienaimé, les chevaux, acquis en général à l’âge de 4 et 5 ans, sont éduqués dans cette ligne de l’équitation de tradition française et également dans le plus grand respect de leur bien-être, cheval de bataille de la directrice équestre : monter en conscience, connaître et comprendre son cheval, convaincre plutôt que contraindre, parler « leur langue », sorties en forêt et vacances régulières en pâtures. Le but de cette éducation est d’amener progressivement, ces chevaux aux airs de haute-école et à quelques autres figures pour les introduire dans les spectacles donnés sous l’extraordinaire coupole du dôme de 28 mètres des Grandes Écuries. La formation d’un cheval de spectacle prend généralement trois ans.

 

Chaque année, la Compagnie équestre propose dans cette salle unique en son genre de 650 places, trois spectacles différents qui, en 2019, ont attiré plus de 60 000 personnes.

 

POUR ALLER PLUS LOIN

 

Une jolie leçon d’histoire en se divertissant

 

Une fresque historique ludique, mêlant humour, poésie et prouesses équestres où les Grandes écuries de Chantilly, ce majestueux monument à la gloire des chevaux, se racontent à travers les voix de deux écuyères-comédiennes, Sophie Bienaimé et Mathilde Pouteau.

 

Pendant une heure, cette narration est illustrée par les chevaux et écuyères des Grandes écuries qui pratiquent l’art équestre à la perfection et proposent des numéros de haute-école – exécutés de façon gracieuse et harmonieuse – ainsi que quelques fantaisies équestres où chevaux et poneys jouent, se couchent, se cabrent, effectuent ruades et cabrioles et même, dansent au rythme d’un swing américain de l’après-guerre. Des moments graves alternent avec des scènes débordantes de gaité pour évoquer trois siècles de l'histoire de cette folie de pierres imaginée en 1719 par Louis Henri de Bourbon, VIIe prince de Condé et dont la construction s'achèvera en 1735.

 

Cette mise en scène enrichie proposera notamment l'arrivée de nouveaux chevaux, des numéros de voltiges revisités et signés Clément Ferron le tout accompagné d'une musique live composée et jouée par le virtuose Jean-Lou Descamps qui donnera un rythme tout à fait personnel à ce spectacle. Sans oublier les somptueux costumes inventés et créés par Monika Mucha, la fidèle et géniale costumière de la Compagnie équestre des Grandes Ecuries.

 

Une création de la compagnie équestre du Domaine de Chantilly : Estelle Berland, Sophie Bienaimé, Lisa Courteau, Nathalie Lecoultre, Mathilde Pouteau, Élodie Jacquet et Caroline Vitry (avec l’aide de Virginie Mouzy-Bienaimé, metteur en scène)

Chorégraphies équestres : Sophie Bienaimé et les écuyères

Voltigeur : Clément Ferron

Costumes : Monika Mucha

Musiques originales : écrite et interprétée par Jean-Lou Descamps

Textes : Sophie Bienaimé et Mathilde Pouteau (avec l’aide de Nicole Garnier)

Régie son et lumières : Sophie Justin

 

Les Equidés :

Les Lusitaniens : Xerife, Encantado, Danubio, Zagalo, Zanzibar, Vega, Giza-O, Remacho, Hamilton

Les chevaux espagnols (PRE) : Quin, Guadalquivir, Amistoso, Madgic, Jericho, Gacelo,

Les cruzados (chevaux croisés) : Orpheo, Gatsby

L’Arabo-frison : Wietse

Les poneys Shetland : Zig-Zag, Izalco, Romain, Chiquito

Le mini-Shetland : Rigolo

Les poneys Welshes : Kéfir et Ramoucho

Les chevaux de voltige Jaleo (isabelle Portugais X Quarter) et Zafiro (crème Portugais)

 

INFORMATIONS PRATIQUES

 

https://domainedechantilly.com/fr/event/il-etait-une-fois-les-grandes-ecuries/

Jusqu’au  1er novembre

(sauf juillet et août)

Durée : 1 heure, les jeudis et dimanches à 14H30

Billets et tarifs :

Billet spectacle (accès aux Grandes Écuries +

spectacle) : Plein tarif : 22€ / Tarif réduit : 17€

Billet domaine + spectacle (accès au château, au parc,

aux Grandes Écuries + spectacle) : Plein tarif : 30€ /

Tarif réduit : 24€

Parking (à régler sur place) : 5€

 

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