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HISTOIRE, PATRIMOINE, PEINTURE, SCULPTURE, PERFORMANCE,

MAISON DES ARTS GEORGES & CLAUDE POMPIDOU

MAISON DES ARTS GEORGES & CLAUDE POMPIDOU
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MAISON DES ARTS GEORGES & CLAUDE POMPIDOU

Guillaume Constantin - Panoptikum III (teaser)

SANS OMBRE EXACTEMENT  -   GUILLAUME CONSTANTIN

 

27 SEPTEMBRE > 05 DÉCEMBRE 2020

 

https://www.youtube.com/watch?v=RT6YgUvZFI4&feature=youtu.be

Une exposition virtuelle de Guillaume Constantin, visible du 27 au 5 décembre 2020 dans son exposition personnelle " SANS OMBRE EXACTEMENT ", au Centre d'art MAGCP de Cajarc.

 

Le témoignage de Guillaume Constantin à ce propos :

 

« Je ne joue pas du tout personnellement aux jeux vidéos mais je saisis sûrement un peu mieux maintenant les enjeux, les émotions et la fascination que ceux-ci peuvent induire. Visiter un espace virtuel conçu comme une exposition à l’aide d’un joystick est une expérience du regard assez intéressante, où les notions de décor, de matérialité des choses sont fortement interrogées, rejouées ou détournées. Les questions du réel et du virtuel sont très connexes dans l’approche du sculpteur. D’ailleurs, la plupart des fichiers numériques avec lesquels je travaille sont versatiles, ils sont tout autant exploitables dans des animations virtuelles que matérialisables via impression 3D et attestent en quelque sorte de la persistance de cette relation originaire. »

 

Guillaume Constantin est sculpteur. Tout son travail interroge la plasticité des choses, des objets comme des concepts. Sa pratique, des plus savantes, s’accommode volontiers de fulgurances, de parasitages, d’érudition et d’humour.

« En jouant sur ces questions de matérialité, de codes et de valeurs esthétiques, je tente de faire écho à ce que nous connaissons (ou non) d’œuvres de l’histoire de l’art mais aussi leurs dérivés : des répliques, des imitations qui se combinent avec des formes et des objets plus quotidiens. »

Il y a de l’archéologie, de la référence, de l’hommage, du détournement, de la réappropriation et surtout de l’anachronisme. Arrachés à leur contexte d’origine, les objets sont réinterprétés ou simplement déplacés, au sens propre comme au figuré. Ce corpus hétérogène d’images, d’objets, de protocoles, de matériaux, compose lui aussi une matière extrêmement plastique. Passionné par la collection et ses modes de monstration, l’artiste trouve dans l’espace virtuel du jeu vidéo, les possibilités de métamorphoses infinies. Le choix d’un espace muséal immersif offre des circulations, des collisions, des tensions entre conservation et disparition qui laissent le champ à l’apparition de fantômes.

 

EXTRAIT DU DÉROULÉ DE L’EXPOSITION 

(suivre dans dossier pédagogique dans le lien ci-dessous)

http://www.magcp.fr/wp-content/uploads/2020/09/DossierPeda_SansOmbre_2020-1.pdf

 

EN FACADE

Du liège isophonique se déroule tout du long du panneau en acier corten du centre d’art. En écho à une précédente pièce réalisée dix ans auparavant au village des Arques (Je veux voir, me taire et entendre, 2010), celle-ci reprend une logique de pli à 45°.

 

SALLE 1

EFFIGIES & IMAGES FANTÔMES

La première salle présente deux séries d’effigies :

 - Trois versions (anatomique, de réanimation et en plâtre) du masque de l’inconnue de la Seine

- Une série d’impressions numériques reprenant différents modèles de demi-bustes féminins de la Renaissance. Ces demi-bustes polychromes semblent sortir des murs et chaque intervalle entre ces volumes est ponctué par une petite virgule moulée en étain.

Au sol, un lé de liège isophonique se déroule sur la longueur de l’espace. À chaque extrémité, une main de mannequin souligne ce geste de déploiement du liège.

Au fond, encastrées dans l’une des fenêtres, deux barres de laiton maintiennent un t-shirt manches longues un peu dissimulé. Celui-ci est imprimé représentant le célèbre tableau des époux Arnolfini. En écho au livre L’affaire Arnolfini (2016), dans lequel son auteur, Jean-Philippe Postel développe une ingénieuse hypothèse où l’épouse Arnolfini ne serait qu’un fantôme, le t-shirt ne présente que la moitié droite du tableau en question.

 

SALLE 2

RÉDUCTION, VÉGÉTAUX & PHÉNOMÈNES

Au sol, une structure en bois supporte des plaques de verres, un sweat-shirt reproduisant une peinture d’Arcimboldo et un bloc d’amiante vitrifiée. Cette structure, reprenant le design d’une table de dîner de Carlo Scarpa est posée sur des pains de sucre coniques complétant cette stratification de fruits, de légumes et autres matières transformées.

Au mur, un aimant et une véritable gousse d’ail viennent compléter l’ensemble, en écho à une vieille légende qui conférait à l’ail le pouvoir d’annuler par frottage le magnétisme d‘un aimant.

Tout ceci sous le regard d’une tache anthropomorphe fortuite inscrite sur la couverture d’un livre recouvert de peau de vache...

 

EXTRAIT DE L’ABÉCÉDAIRE DE L'EXPOSITION EN CINQ LETTRES 

(suivre dans l’index fragmentaire de l’exposition avec le lien ci-dessous

http://www.magcp.fr/wp-content/uploads/2020/09/DossierPeda_SansOmbre_2020-1.pdf

 

 

C— CURIOSITE

Attaché au principe de la collection et à ses modes de monstration, Guillaume Constantin compose pour l’exposition Sans Ombre Exactement un corpus hétérogène d’images, d’objets, de protocoles et de matériaux. Réinterprétant à sa manière la tradition du Cabinet de curiosités, il articule dans un même espace des choses aussi « rares, nouvelles et singulières »1 que quotidiennes, sélectionnées pour leur plasticité, leur histoire, leur pouvoir d’évocation… Toutes ces « choses », que l’on peine à classifier mais que l’on contemple avec avidité, dialoguent entre-elles en une sorte de puzzle raisonné.

 

1 Définition du Littré

 

E — EFFIGIE

Dans la première salle, Guillaume Constantin présente deux séries d’effigies. Démultiplié dans l’espace d’exposition, le visage de l’inconnue de la Seine côtoie les bustes de « princesses inconnues » de la Renaissance. La présence fantômatique de ces effigies féminines, drapées dans le mystère que leur confère leur statut d’inconnue, donne à cette galerie de portraits une aura énigmatique. La technologie anachronique utilisée pour réaliser ces bustes de la Renaissance (imprimante 3D) renforce cette impression d’étrangeté en leur attribuant un caractère intemporel. On sent bien que ce qui se joue ici est au-delà de la représentation. Il s’agit pour l’artiste de « mettre à jour » ces formes, déjà existantes, de se les remémorer, en cherchant sous leurs traits, l’essence de ces visages, ce qui fait leur pouvoir d’attraction.

 

F — FANTOME

« les fantômes comme les images, n’ont pas d’ombre » dit l’artiste.

Les œuvres de Guillaume Constantin naviguent entre visible et invisible. Il y a ce que l’on voit et ce qui se cache derrière... L’artiste opère par fragments, prélèvements et les disséminent : le public est invité dans ce jeu de pistes à reconstituer le puzzle. Une main s’extrait d’un lé de liège et c’est l’absence du corps tout entier qui nous intrigue. Des demi-bustes semblent sortir du mur et l’on se questionne sur la partie manquante, l’au-delà, derrière la cimaise. Le masque mortuaire de l’inconnue de la seine, décliné sous plusieurs formes dans l’exposition, fascine tout autant par son défaut d’histoire que par la beauté de son sourire énigmatique. L’auteur Louis-Ferdinand Céline écrit à son sujet qu’elle porte la « silencieuse persistance poétique » des anonymes… L’histoire fictionnelle qui lui est attribuée renvoie à la symbolique de « la noyée », à l’image profonde d’Ophélie.

Les objets aussi sont hantés par leur histoire. L’artiste dit « ce sont les objets qui apparaissent et non moi qui les vois ». Leur présence se révèle sous la forme d’apparition dans la dernière salle, deux environnements virtuels projetés dos-à-dos mêlent différentes sortes de « fantômes ». D’un côté, des œuvres célèbres et des curiosités scannées en trois dimensions se déploient dans une sorte de musée imaginaire. De l’autre, nous naviguons dans un ensemble de ruines grecques et romaines virtuelles « habillées » de textures et de matériaux « réels » - il s’agit de détails de photographies issues de la série Everyday Ghosts, intitulée ainsi car elle révèle des illusions ou des apparitions du quotidien. Ces deux reconstitutions virtuelles seraient une preuve s’il en est de la survivance de ces civilisations disparues et de leurs artistes.

 

H —HISTOIRE

Le travail de Guillaume Constantin est multi-référencé. Tous les prélèvements effectués donnent lieu à des pièces qui entraînent dans leur sillage une histoire singulière. Sa manière de procéder induit un jeu d’aller-retour entre la forme visible de l’objet et l’histoire de cette forme. Les pièces dialoguent ensuite entre-elles dans l’espace d’exposition de sorte que toutes ces strates de sens superposées créent un ensemble signifiant. « mon travail intègre des histoires prélevées, entendues, lues çà et là. Ces histoires réinjectées dans des contextes d’exposition permettent des échanges. J’en apprends parfois plus par le retour des visiteurs que par mes propres recherches. » dit l’artiste. Ainsi pour cette exposition, le visiteur navigue-t-il entre citations de l’histoire de l’art, références littéraires ou légendes populaires. Loin de demeurer un secret de fabrication ou un secret d’initié, ces histoires sont livrées directement au visiteur dans une sorte d’index fragmentaire de l’exposition qui en évoquant certains mots-clés et indices d’interprétation permet de décaler très légèrement le regard et constitue un angle supplémentaire de lecture.

 

S — SCULPTEUR

Guillaume Constantin est « sculpteur en ce sens que tout son travail interroge la plasticité des choses – des objets comme des concepts – »2 . La démultiplication du visage de l’inconnue de la Seine témoigne d’une recherche quasiobsessionnelle de la vérité de la forme. En faisant et refaisant le moulage du même motif dans différentes versions, différentes matérialités, on dirait qu’il cherche, à la suite de ces nombreux poètes et écrivains, à percer le mystère de l’inconnue. Mais plutôt que de chercher du côté de la fiction, son hypothèse à lui serait formelle…

L’artiste redonne aussi de « l’épaisseur à des images trop longtemps aplaties par la fameuse reproductibilité technique »3 . Il réactive le volume de bustes de la Renaissance par des impressions 3D réalisées à partir de fichiers numériques. Il dépose et accroche des sweat-shirts ornés de chef d’œuvres de l’Histoire de l’art et redonne à ces objets de consommation standardisés la matérialité du drapé des gisants.

Ses displays deviennent sculpture par accumulation. Une nouvelle unité formelle émerge dans l’association d’images et d’objets de natures différentes. Il s’agit tout autant d’élever une forme que d’organiser des pièces entre-elles pour produire du sens. Enfin, l’environnement virtuel est là encore l’opportunité d’interroger cette plasticité qui le fascine tant : dans l’espace virtuel « les notions de décor, de matérialité des choses sont fortement interrogées, rejouées ou détournées. Les questions du réel et du virtuel sont très connexes dans l’approche du sculpteur. D’ailleurs la plupart des fichiers numériques avec lesquels je travaille sont versatiles, ils sont tout autant exploitables dans des animations virtuelles que matérialisables via impressions 3D » confie l’artiste.

2 Marie Cantos, De la résilience en sculpture in La reconnaissance des motifs de Guillaume Constantin.

3 Idem

 

POUR ALLER PLUS LOIN

 

Crédits : 

Guillaume Constantin, «  PANOPTIKUM 3 », 2020, Application & interface numériques, manette de jeu. En collaboration avec le Virtualdreamcenter. Son de Benjamin Laurent Aman. Production MAGCP

 

Martine Michard, Commissaire de l’exposition

 

UNE EXPOSITION DE GUILLAUME CONSTANTIN.

Comme il en est des fantômes, les objets sont hantés par leur histoire. En les déplaçant – au sens propre et figuré – l’artiste réactive et entremêle différents archétypes de la sculpture, du corps et de ses traces. Détachés de leur contexte d’origine, les objets agissent par dissémination, entre visibilité et absence, à l’instar du visage démultiplié de L’inconnue de la Seine, des rouleaux de liège qui traversent les murs ou des métamorphoses infinies des jeux vidéos Panoptikum. Guillaume Constantin intègre un corpus hétérogène d’images, d’objets, de protocoles et de matériaux pour faire exposition : des fragments de choses et d’histoires prélevées, des copies d’œuvres devenues objets quotidiens... Il suggère des apparitions, souligne des références, s’autorise des hommages, joue des anachronismes pour créer des espaces réels et virtuels qui mettent en circulation une pensée associant futur, passé et présent. Il s’accommode volontiers de fulgurances, de parasitages, d’érudition et d’humour pour faire dialoguer les codes esthétiques et les valeurs d’époques diverses comme dans une sorte de puzzle raisonné extrêmement plastique, dont l’assemblage et la résolution restent toujours enveloppés de mystère.

 

LE PARCOURS D’ÉDUCATION ARTISTIQUE ET CULTURELLE PERCEVOIR, SENTIR, IMAGINER, CRÉER

Pourquoi venir au centre d’art ? — Découvrir le centre d’art, comprendre son rôle et ses missions — Rencontrer des œuvres réelles — Susciter la curiosité, l’intérêt, l’émotion — Développer l’ouverture d’esprit — Exprimer des émotions, des préférences — Étoffer ses connaissances artistiques (Histoire des Arts)

 

REGARDER ET S’INTERROGER

Sur réservation Du Lundi au vendredi Gratuit

 

EXTRAIT — LEXIQUE DES REFÉRENCES ARTISTIQUES  (à suivre avec le lien ci-dessous)

http://www.magcp.fr/wp-content/uploads/2020/09/DossierPeda_SansOmbre_2020-1.pdf

 

PARTENAIRES INSTITUTIONNELS

Dans le cadre d’une convention triennale d’objectifs, à laquelle est associé un projet artistique et culturel, la Maison des arts Georges et Claude Pompidou bénéficie du soutien de : La drac occitanie, le ministère de la culture et de la communication, la région occitanie, le département, le conseil général du lot, les abattoirs frac midi-pyrénées, association d.c.a. de développement des centres d’art, paris art  - http://www.magcp.fr/partenaires/

 

A PROPOS  DE LA MAISON DES ARTS GEORGES ET CLAUDE POMPIDOU

Située à 140 kms au Nord de Toulouse dans un environnement rural et touristique la MAGCP, Maison des Arts Georges et Claude Pompidou, combine les missions d’un centre d’art contemporain à Cajarc et celles de résidences internationales d’artistes, les Maisons Daura, à Saint-Cirq Lapopie. Pour cela, elle a obtenu le label Centre d’art contemporain d’intérêt National, depuis décembre 2018.


Les axes de programmation allient éclectisme et exigence pour faire sens au regard des problématiques du monde contemporain. L’association participe à Air de Midi – Réseau art contemporain en Midi-Pyrénées, aux activités du LMAC, laboratoire des médiations en art contemporain. Elle est membre de dca / association française de développement des centres d’art et d’Arts en résidence – Réseau national.

 

CENTRE D’ART CONTEMPORAIN CAJARC

 

Dédié à la découverte des artistes émergents et confirmés, le centre d’art contemporain produit des œuvres nouvelles, tout en accompagnant le public par des actions de médiation spécifiques.

Le Parcours d’art contemporain en vallée du Lot – été Cajarc, Calvignac, Larnagol, Cénevières, Saint-Cirq-Lapopie, Bouziès

Les passerelles entre art et environnement trouvent ici à se déployer à l’échelle d’un territoire investi par les artistes le temps d’un été.

Maisons Daura, résidences internationales d’artistes Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée Saint-Cirq Lapopie.

Laboratoire de création pour toutes les disciplines artistiques, elles sont un lieu de vie et de recherche pour des artistes du monde entier.

 

INFORMATIONS PRATIQUES

http://www.magcp.fr/evenements/

 

MAISON DES ARTS GEORGES & CLAUDE POMPIDOU 

CENTRE D’ART CONTEMPORAIN CONVENTIONNÉ 
RÉSIDENCES INTERNATIONALES D’ARTISTES

134 AVENUE GERMAIN CANET F-46160 CAJARC
T 05 65 40 78 19 CONTACT@MAGCP.FR

 

SERVICE DES PUBLICS (parcours découverte petite enfance, atelier de pratique lycée etc…)

MARIE DEBORNE

M.DEBORNE@magCp.fr

05 65 40 78 19

SERVICE CIVIQUE

PAUL FORESTIÉ

P.FORESTIE@magCp.fr

EXPOSITION

SANS OMBRE EXACTEMENT

DU 27.09 AU 05.12.2020

Accueil des groupes du lundi au vendredi sur rendez-vous.

 

EXPOSITION 
27 09 — 05 12 2020


MERCREDI — DIMANCHE
14H — 18H
FERMÉ LE 1ER NOVEMBRE

 

VERNISSAGE
SAMEDI 26 SEPTEMBRE ­— 18H
AVEC GUILLAUME CONSTANTIN


VISITES COMMENTÉES 
LES DIMANCHES 25 OCTOBRE &
29 NOVEMBRE — 16H-17H

 


MUSIQUE EXPÉRIMENTALE
LUNDI 19 OCTOBRE — 20H30
AVEC CHICALOYOH, MÉRYLL AMPE, TERRINE


ATELIERS POM*POMPIDOU ! 
& TOUT-PETITS
MERCREDIS 21 & 28 OCTOBRE
> 1 – 4 ANS / 10H30 – 11H30
> 5 – 12 ANS / 15H – 17H


CINÉMA 
J’AI PERDU MON CORPS, J. CLAPIN
> JEUDI 05 NOVEMBRE — 20H30
OKKO ET LES FANTÔMES, K. KÔSAKA
> SAMEDI 07 NOVEMBRE — 17H
AVEC LE GRAND-FIGEAC

 

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