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HISTOIRE, PATRIMOINE, PEINTURE, SCULPTURE, PERFORMANCE,

L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910

L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
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L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910
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L’ATELIER DE LA NATURE, 1860 - 1910

MUSÉE DES IMPRESSIONNISMES GIVERNY  -   3 JANVIER 2021

 

Cette exposition est co-organisée par le musée des impressionnismes Giverny et la Terra Foundation for American Art. 

 

PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION

 

Le musée des impressionnismes Giverny invite à l’automne 2020 la Terra Foundation for American Art à présenter une sélection de paysages des XIXe et XXe siècles issus de cette collection en provenance des États-Unis. Organisée du 12 septembre 2020 au 3 janvier 2021, l’exposition L’Atelier de la nature, 1860-1910. Invitation à la Collection Terra propose ainsi aux visiteurs de mieux appréhender l’évolution de l’art du paysage chez les artistes américains. Elle bénéficie d’importants prêts du musée d’Orsay, de la Bibliothèque nationale de France et de la Société de Géographie.  

Dans une lettre ouverte écrite en 1855, le peintre paysagiste Asher B. Durand déconseille aux élèves d’étudier dans les ateliers renommés et les enjoint plutôt à travailler en plein air et à se confronter à « l’atelier de la nature ». De nombreux jeunes artistes suivent ses recommandations. Ils remplissent leurs carnets de croquis de paysages extrêmement détaillés et se concentrent sur la singularité de chaque pierre, plante, arbre ou nuage. L’observation directe de la nature leur permet d’accéder à une forme d’authenticité lorsqu’ils retournent peindre dans leurs ateliers. Plus tard, les artistes américains vont rejeter l’imitation servile de la nature et se tourner vers des créations reposant sur l’émotion et l’expressivité. Selon James Abbott McNeill Whistler, seul un artiste peut transformer les éléments de la nature en un chef d’œuvre. Pour lui, l’imagination supplante l’imitation. À partir des années 1880, les artistes américains peignant à Barbizon et à Giverny abordent la nature à travers le regard des naturalistes et des impressionnistes. Ils délaissent les grands panoramas pour des scènes ordinaires, certes moins spectaculaires mais qu’ils dépeignent avec un style novateur. Le travail en plein air les incite à appliquer la couleur en larges touches afin de capturer les effets changeants d’ombre et de lumière. De retour aux États-Unis au tournant du siècle, ces artistes continuent d’employer les méthodes et les tonalités impressionnistes tout en expérimentant avec des nouvelles techniques plus modernes.

Cette évolution se retrouve dans les cinq sections de l’exposition qui proposent des temps forts selon un déroulé chronologique. Ainsi, les liens entre photographie et peinture de paysage dans les années 1870 constituent le premier thème abordé, suivi de la réinvention radicale du paysage par Whistler et des paysages aux ambiances poétiques des années 1880. L’exposition s’achève avec l’impressionnisme coloré de Giverny, et les diverses interprétations de la nature par des artistes urbains du XXe siècle.

De 1860 à 1910, la représentation du paysage chez les artistes américains évolue sans cesse, passant de la description méticuleuse à l’expression subjective, des panoramas aux scènes intimes. L’exposition permet d’évoquer trois idées plus larges : l’influence artistique ; l’identité nationale ; et le rapport de l’homme à la nature. Si la plupart des paysages de l’exposition montrent un peuple en harmonie avec la nature, d’autres apparaissent comme une mise en garde sur l’éventualité de sa perte et sur l’impact de l’implantation des populations, du tourisme et de l’urbanisation.

 

PARCOURS DE L’EXPOSITION

 

Réunissant près de 90 oeuvres – peintures, gravures, photographies – l’exposition s’articule autour de cinq sections.

 

DU FLEUVE HUDSON A YELLOWSTONE

L’exposition s’ouvre avec la représentation des grands espaces américains, où des montagnes lointaines dominent des étendues d’eau calmes nimbées de lumière. Bien que de dimensions parfois modestes, les toiles capturent avec succès les grandes distances et les vastes espaces, caractéristiques des États-Unis. Certains artistes tels qu’Alfred Thompson Bricher et Sanford Robinson Gifford contrebalancent la grandeur du paysage par des scènes à échelle humaine, dans lesquelles l’homme semble être en harmonie avec son environnement. Worthington Whittredge adopte une stratégie similaire dans sa représentation d’Amérindiens installés le long d’une rivière du Colorado. Cette scène ne fait aucune allusion au déplacement violent des tribus amérindiennes par les colons américains s’installant dans l’Ouest au même moment.

 

Entre 1860 et 1880, de nombreuses campagnes d’exploration de l’Ouest américain voient le jour ayant pour but d’étudier et de documenter le territoire. Les photographes s’imposent alors comme des acteurs incontournables de ces campagnes et de leur promotion. Timothy O’Sullivan, John K. Hillers ou William Henry Jackson réalisent des milliers de photographies, dont la diffusion permet de faire découvrir ces paysages spectaculaires aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale. Ces images transcendent leur rôle documentaire pour investir des fonctions idéologiques et promotionnelles mais également artistiques, voire écologiques. En 1872, convaincu par la nécessité de préserver la nature, le Congrès vote la création d’un premier parc national, Yellowstone Park.

 

LES PAYSAGES ESTHETIQUES DE WHISTLER

 

Peintre américain expatrié en Europe, James Abbott McNeill Whistler est l’un des artistes majeurs de cette exposition. Il invente une nouvelle vision du paysage, en affirmant que l’artiste a besoin d’améliorer la nature en la peignant – puisque « la nature a très rarement raison. » L’artiste doit recomposer le paysage, plutôt que le copier. Ses œuvres, inspirées de l’art japonais et du « mouvement esthétique » anglais allient surfaces décoratives et harmonies subtiles de tons. Bien qu’aujourd’hui majoritairement connu pour son œuvre peint, Whistler est un graveur hors pair. Son traitement des espaces vides, la grande liberté de ses traits et l’accent mis sur des sujets urbains introduisent dans ses estampes une intensité visuelle d’une grande subtilité. En 1879, la Fine Art Society de Londres lui commande une série de gravures de Venise qu’il édite en 1880 et 1886. Les changements effectués entre les deux séries permettent de percevoir avec acuité la façon dont il affine et développe ses sujets au cours du temps. Les estampes qu’il expose et vend en Europe et aux États-Unis sont remarquées par une nouvelle génération d’artistes qui intègre les leçons transmises par Whistler.

 

LES PAYSAGES D’EMOTION

 

Inspirés de Whistler mais également de l’École de Barbizon, les artistes américains se détournent des panoramas époustouflants et de la touche invisible de leurs prédécesseurs pour réaliser des paysages intimes et romantiques. Ils préfèrent interpréter la nature au lieu de la représenter et cherchent à transmettre un certain état d’esprit. Dans les années 1870 et 1880, George Inness développe un style très personnel de peinture de paysage élaboré à partir de son imagination et de sa mémoire. Ses œuvres dépassent l’observation directe et illustrent la relation entre le monde matériel et le monde spirituel. Les critiques les désignent comme des « paysages de l’esprit » ou « paysages d’émotion » et font l’éloge de la sensibilité qui s’en dégage. D’autres artistes, tels que Dennis Miller Bunker ou John Twatchman peignent des « morceaux de nature » ou des vues ordinaires en utilisant une palette de bruns chargés de bitume et de verts sombres appliqués en touches larges. Leurs paysages baignent dans une lumière douce et feutrée qui devient le vecteur de leurs émotions. De nombreux tableaux dans cette section de l’exposition sont peints en France, où les Américains adoptent et transforment les tonalités et les touches de l’École de Barbizon avant de se tourner vers l’impressionnisme.

 

L’IMPRESSIONNISME A GIVERNY

 

Après l’installation de Claude Monet à Giverny en 1883, et au cours des trente années suivantes, le village attire des centaines d’artistes internationaux. Ils sont séduits par la présence du maître impressionniste mais également par la perspective de travailler ensemble et de peindre en plein air dans cette colonie d’artistes proche de Paris. Les paysages réalisés par les Américains résidant à Giverny montrent une pluralité de tendances à la fois naturalistes et impressionnistes. Comme Monet, ils cherchent à capturer les effets changeants de l’ombre et de la lumière dans des compositions spontanées où la touche est rapide et les couleurs vives. Theodore Robinson et John Leslie Breck résident plusieurs années dans le village et deviennent proches de Monet, mais leurs toiles ne sont pas de simples imitations de celles du maître. Ainsi, même lorsqu’ils adoptent les sujets de prédilection du peintre français, différentes influences affleurent dans leur touche, provenant tout à la fois de leur formation académique et des mouvements impressionniste et postimpressionniste.

 

UNE VISION MODERNE

 

Adapter les techniques picturales européennes aux paysages américains constitue un défi pour les artistes revenant aux États-Unis dans les années 1890. Certains se plaignent de la différence de lumière et d’atmosphère et sont nostalgiques du temps gris, caractéristique de Londres ou de Paris. Willard Metcalf, par exemple, reste fidèle à l’impressionnisme mais éclaircit sa palette afin de représenter le soleil chaud de Cuba ou le ciel bleu de la Nouvelle-Angleterre.

Son Ruisseau en juin est pétillant de couleurs vives et de touches rapides ; la toile évoque son travail à Giverny en plus lumineux. D’autres artistes tels que Childe Hassam ou Edward Simmons adaptent les techniques impressionnistes aux scènes de rues et aux parcs de Boston. Au début du XXe siècle, certains peintres, comme Rockwell Kent et George Bellows, insufflent une vision plus forte et plus personnelle à leurs interprétations de la nature, ouvrant ainsi la voie au modernisme

 

LA TERRA FOUNDATION FOR AMERICAN ART

 

La Terra Foundation for American Art est heureuse de s’associer au musée des impressionnismes Giverny afin de présenter l’exposition « L’Atelier de la nature, 1860-1910. Invitation à la Collection Terra » à l’automne 2020. Elle démontre l’exceptionnelle collaboration entre les deux établissements.

Il est à rappeler que la Terra Foundation est un partenaire de longue date du musée des impressionnismes Giverny. Elle apporte ainsi un grand soutien à ce projet, qui est un nouveau chapitre dans la relation fructueuse nouée entre ces deux institutions depuis la présentation au public de « Joan Mitchell, peintures » en 2009 et de « L’Impressionnisme et les Américains » en 2014.

La présence de la fondation Terra dans le village normand remonte à trois décennies, lorsque Daniel J. Terra crée le Musée d’Art Américain Giverny, devenu en 2009 le musée des impressionnismes Giverny. Cette même année, la fondation inaugure son centre parisien et sa bibliothèque désormais installés au sein de l’hôtel Lévis-Mirepoix, situé près du musée d’Orsay. La fondation conserve néanmoins son attachement à Giverny par le biais d’une résidence de doctorants et d’artistes émergents de tous horizons, la Terra Summer Residency, organisée chaque été depuis 2001. Le centre parisien est au cœur des programmes de l’institution qui soutient à travers le monde des expositions, des programmes universitaires de recherche et d’enseignement ainsi que l’édition. Destiné à servir une communauté de chercheurs en histoire de l’art, c’est également un espace privilégié d’échanges autour de la culture artistique et visuelle des États-Unis.

La Terra Foundation for American Art a pour vocation de promouvoir l’exploration, la compréhension et l’appréciation des arts visuels des États-Unis auprès d’un public américain et international. Reconnaissant l’importance de la rencontre avec des œuvres d’art originales, la fondation permet leur étude, notamment à travers la présentation et le développement de sa propre collection d’œuvres d’art à Chicago. Afin de promouvoir le dialogue interculturel sur l’art américain, la fondation apporte son soutien et collaboration à des expositions et à des programmes de recherche et d'enseignement innovants. La Terra Foundation fonde toute son action sur la conviction selon laquelle l’art permet à la fois de distinguer et d’unir les cultures.

 

LISTE DES PRETEURS

États-Unis

Chicago, Terra Foundation for American Art

France

Paris, Bibliothèque nationale de France, département des Estampes et de la Photographie Paris, musée d’Orsay

Paris, Société de Géographie

Paris, Terra Foundation Library of American Art

L’exposition est complétée par des œuvres issues de la collection du musée des impressionnismes Giverny.

 

CATALOGUE

Un important catalogue est édité à l’occasion de cette exposition.

Toutes les œuvres exposées y seront reproduites.

Coédition : musée des impressionnismes Giverny / RMN Parution : septembre 2020

 

SOMMAIRE

L’Atelier de la nature, 1860-1910. Introduction Par Katherine Bourguignon, conservateur, Terra Foundation for American Art, commissaire de l’exposition James McNeill Whistler, paysagiste de l’absence Par Cyrille Sciama, directeur général, musée des impressionnismes Giverny Faire l’impressionniste Par Pierre Wat, professeur d’histoire de l’art à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Catalogue

1. Du fleuve Hudson à Yellowstone

2. Les paysages esthétiques de Whistler

3. Paysages d’émotion

4. L’impressionnisme à Giverny

5. Une vision moderne

 

Annexes

Notices consacrées au traitement du paysage par quelques artistes : Sanford Robinson Gifford, William Henry Jackson, George Inness, Theodore Robinson, William Merritt Chase et Rockwell Kent Par Valérie Reis, chargée des expositions, musée des impressionnismes Giverny

Chronologie 1860-1910 Par Morgane Hamon, assistante qualifiée de conservation, Terra Foundation for American Art

Biographies des artistes

Par Morgane Hamon

Liste des œuvres exposées

Bibliographie sélective

 

POUR ALLER PLUS LOIN

 

Commissariat : Katherine Bourguignon, conservateur à la Terra Foundation for American Art

Cette exposition est organisée par le musée des impressionnismes Giverny et la Terra Foundation for American Art. Elle bénéficie du généreux soutien de la Terra Foundation for American Art. Elle s’inscrit dans le cadre de Normandie Impressionniste 2020.

Exposition organisée dans le cadre de Normandie Impressionniste 2020. Département de l’Eure en Normandie, Région Normandie, Seine Normandie, Ville de Vernon, Musée d’Orsay et de l’Orangerie, Normandie Impressionniste, Terra Fondation For American Art

 

Zoom sur les oeuvres

https://www.mdig.fr/expositions-et-activites/expositions/l-atelier-de-la-nature-1860-1910/

La colonie d’artistes américains à Giverny, les grands thèmes

https://www.mdig.fr/decouvrir-le-musee/l-impressionnisme/les-grands-themes/la-colonie-d-artistes-americains-a-giverny/

https://www.mdig.fr/decouvrir-le-musee/l-impressionnisme/les-artistes/john-leslie-breck-hong-kong-1860-boston-1899/

Figure majeure de l’impressionnisme aux États-Unis, John Leslie Breck fut l’un des premiers artistes américains à découvrir Giverny.

https://www.mdig.fr/decouvrir-le-musee/l-impressionnisme/les-grands-themes/l-impressionnisme/

 

Autour d’Edouard Manet

Peinture de la vie moderne et de l’instantanéité, dont les sujets et les techniques scandalisèrent d’abord ses contemporains, l’impressionnisme regroupa des artistes dont les personnalités variées et l’indépendance firent la force du mouvement et en compliquent la définition.

La définition de l’impressionnisme est rendue d’autant plus difficile qu’à côté de la diversité des styles personnels observée dès le début, chaque artiste explore une voie personnelle à partir des années 1880. Monet se lance dans les séries. Pissarro expérimente avec le néo-impressionnisme. Renoir fait évoluer son art en le nourrissant de références à l’art classique, notamment à travers des figures de nus féminin. Et s’il est né en France, l’impressionnisme a aussi connu des manifestations dans d’autres pays, comme la Belgique ou les États-Unis, rendant encore plus complexe toute tentative de définition.

 

INFORMATIONS PRATIQUES

Musée des impressionnismes Giverny

99 rue Claude Monet, 27620 Giverny

Tél. +33 (0)2 32 51 94 65

contact@mdig.fr

www.mdig.fr

Le musée sur Google Arts & Culture / Facebook / Instagram / Twitter

Exposition visible du 12 septembre 2020 au 3 janvier 2021

Horaires du musée

Du 15 juin au 15 novembre : ouvert tous les jours, de 10h à 18h

Du 16 novembre au 20 décembre : ouvert les vendredis, samedis, dimanches, de 10h à 18h

Du 21 décembre au 03 janvier : ouvert tous les jours, de 10h à 18h

Le musée est ouvert les jours fériés (sauf les 25 décembre et 1er janvier).

Le musée est accessible aux personnes à mobilité réduite. Sur place : restaurant-salon de thé, librairie-boutique

Mesures spéciales d’accès, dans le respect des consignes sanitaires

Afin de contrôler le nombre des visiteurs, l’accès au musée se fait obligatoirement sur présentation d’un billet horodaté préacheté en ligne (www.mdig.fr).

Le port du masque est nécessaire pour toutes les personnes à partir de 11 ans.

Dans le musée et dans le jardin, les visiteurs sont invités à suivre un parcours balisé afin de minimiser les croisements.

Billet seul

Adulte : 7,5 €

Enfant de 12 à 18 ans/réduit/étudiant : 5 €

Enfant de 7 à 11 ans : 3,5 €

Personne avec handicap : 3,5 € (gratuit pour accompagnateur)

Enfant - 7 ans : gratuit

Forfait famille : pour 3 billets achetés,

une entrée enfant est offerte.

Pass Annuel : 21 €| Duo Pass : 37 €

Audioguide : 4 €

Achat en vente sur place ou en ligne** sur : www.mdig.fr & www.fnac.com *

*uniquement aux comptoirs de vente du musée des impressionnismes, du musée de Vernon, de la Maison et Jardins de Claude Monet, à l’office de tourisme de Vernon et sur www.mdig.fr

**tarif majoré pour frais de gestion

 

LA TERRRA FONDATION FOR AMERICAN ART, ET LA TERRA SUMMER RESIDENCY

https://www.terraamericanart.org/what-we-offer/our-art-collection/terra-collection-initiative-the-studio-of-nature-1860-1910-the-terra-collection-in-context/

 

Fondée en 2001, la résidence d'été Terra rassemble des doctorants d'art américain et des artistes émergents du monde entier pour un programme résidentiel de neuf semaines à Giverny, en France. Le programme encourage le travail indépendant tout en offrant des séminaires et du mentorat par des universitaires et des artistes chevronnés pour favoriser la réflexion et le débat.

La résidence d'été Terra offre aux participants l'occasion d'élargir leurs horizons académiques et créatifs, d'explorer des perspectives culturelles internationales et de forger des échanges et des réseaux professionnels tout au long de leur vie.

 

En plus d'une allocation, les boursiers reçoivent un hébergement sur place, l'utilisation des installations de travail et des déjeuners pendant la durée de la résidence. Le manuel de résidence fournit plus d'informations sur l'emplacement, les installations et les directives de résidence.

 

La résidence d'été Terra 2020 se déroule dans un format virtuel pour les chercheurs du 8 juin au 3 juillet 2020.

Les séminaires en ligne sont dirigés par un professeur principal, avec des sessions supplémentaires par un artiste invité et un conservateur, et les candidats sélectionnés présentent leur travail dans une série de séances de discussion et de mentorat.

Nous sommes impatients de proposer la résidence d'été Terra 2021 à Giverny (du 7 juin au 6 aôut 2021)

https://www.terraamericanart.org/what-we-offer/grant-fellowship-opportunities/terra-summer-residency/

Contact: tsr@terraamericanart.eu

Terra Foundation for American Art   121, rue de Lille 75007 Paris

+33 1 43 20 67 01 terraamericanart.org

 

PUBLICATIONS

Publié par la Terra Foundation for American Art 
39 $, disponible auprès de l' Université de Chicago Press

Art des États-Unis, 1750-2000: sources primaires


Art of the United States présente trois siècles d'art américain à travers un large éventail de textes historiques, y compris des écrits d'artistes, de critiques, de mécènes, de personnalités littéraires et d'autres commentateurs. 

Les textes de diverses personnalités culturelles - dont John Adams, Thomas Cole, Frederick Douglass, Mary Cassatt, Clement Greenberg, Kara Walker et Coco Fusco - sont regroupés par époque historique aux côtés d'autres artistes en vedette. Le volume rassemble de multiples voix à travers les âges pour fournir un cadre d'apprentissage et de réflexion critique sur l'art américain. Il est destiné à un public américain et international allant des étudiants de premier cycle et des visiteurs de musées aux historiens de l'art et autres chercheurs. 

Le volume, publié par la Terra Foundation for American Art, est de John Davis et Michael Leja, et édité par Francesca Rose. 

 

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